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Francisse
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La fessée rock and roll ! Empty La fessée rock and roll !

Lun 5 Avr - 23:03
La fessée rock and roll !


Joli ce petit village mayennais !
Un petit village de caractère !
Je gare mon véhicule près de la mairie pour me diriger à pied vers un pavillon en pierre entouré d’un jardin fleuri avec goût.
Après quelques années de privation, je vais enfin recevoir une nouvelle fessée !
Désormais libre, car divorcé, j’ai bien l’intention de vivre intensément ce fantasme.

Avec Pierre-Luc, nous échangeons depuis quelques jours par mails pour commencer et très vite par téléphone portable.
L’homme est cool, une voix douce et bienveillante. Il me propose un week-end « fessées » à la campagne, dans sa résidence secondaire. Evidemment, je dis oui tout de suite.
Et je me retrouve donc, un samedi matin, vêtu d’un short et débardeur noirs, à sonner devant sa porte, le cœur serré, le corps un rien tremblant.
La porte s’ouvre et un homme d’environ soixante-dix ans apparait.
Une carrure impressionnante, une chevelure grise épaisse, un large sourire.

- Entre, pose ton sac à dos Francis. Je suis content que tu sois là ! Certaines personnes se dégonflent au dernier moment, mais toi, t’es courageux ! Vas-y, entre, détend-toi ! Tu veux boire un truc ? Un thé vert ? Oui, c’est bon pour la santé le thé ! Assieds-toi, ne sois pas timide ! On est là pour s’amuser !

L’homme est bavard, assez speed , rieur aussi ! Je me sens rassuré, près à offrir mes fesses à ses larges mains blanches.
Le thé est bon, les petits gâteaux secs croustillants.

- T’es mignon dans ton short noir, oui, super ta tenue, j’adore ! J’espère que tu supportes bien la douleur car j’ai bien l’intention de les faire rougir tes fesses.
- Je suis là pour ça, monsieur.
- Je sais, je sais ! Mais appelle moi Pierre-Luc, je ne suis pas ton maître, mais ton fesseur. Ok ?
- Ok, pas de souci !
- Oh ! c’est toi qui vas avoir beaucoup de soucis ce week, Francis !

Il se lève pour allumer sa chaîne. La guitare de Jimmy Hendrix résonne dans la pièce !
Il s’installe sur le canapé et m’ordonne :
- Allez hop, à genoux devant moi, mains sur la tête !
J’obéis aussitôt !
Il glisse une main dans mes cheveux, me tapote une joue puis éclate de rire !
- T’as vraiment l’air con, mon pauvre garçon ! Oui, je te devine un peu niais, docile, incapable de penser par toi-même ! Une larve quoi, mais bon, j’aime bien les larves, ça tombe bien !
A mon tour, j’éclate de rire ! Mon côté rebelle sans doute !
- Oui, décidemment, tu me plais ! Viens dans mes bras, je vais te faire un câlin !
Il me caresse gentiment, avec une infini douceur et brutalement, il me couche sur ses genoux et frappe mes pauvres fesses avec délectation.
Les claques pleuvent et je renonce à les compter. Mon short fait ce qu’il peut pour atténuer les coups, mais ça commence à chauffer et je me tortille comme un vers de terre.
Indifférent à la scène, Jimmy Hendrix continue de faire hurler sa guitare, accompagné à la batterie par Pierre-Luc !
Il frappe, encore et encore. Une dizaine de coups sur une fesse, une dizaine de coups sur l’autre ! Trois secondes de caresse et il claque à nouveau.

- Alors, ça correspond à tes attentes ?
Je murmure un timide petit oui.
Il me caresse à nouveau gentiment puis repart dans un puissant solo de batterie qui m’arrache des gémissements de douleur ! Puis, sans prévenir, il met fin à la punition.
Je suis bien content d’avoir conservé mon short, mais les fesses me brûlent malgré-tout !
- Allez debout, je vais te faire visiter mon jardin. Ensuite, tu vas me préparer un excellent déjeuner si tu tiens à la peau de tes fesses. Tu cuisines bien, j’espère ?
- Oui oui, pas de souci !
- Pas de souci, pas de souci, décidemment, tu ne sais dire que ça, pauvre idiot !
Deux fortes claques surprennent mes cuisses, épargnées par mon fesseur jusqu’à maintenant !


Le jardin est magnifique ! Des fleurs en pagaille et des légumes qui refusent d’entrer dans le rang.
Je récupère quelques carottes, une salade, trois tomates rouges comme le postérieur d’un fessé et une poignée de fraises. Trois poules insolentes m’autorisent à voler leurs œufs frais sous le regard inquiétant d’un vieux matou un tantinet sadique.
Je range mon butin dans un panier en osier.
- C’est moi qui les fabrique les paniers. Tiens, tu vois l’arbre au fond du jardin. Prends le sécateur et coupe une branchette assez fine. C’est sympa, ça donne envie de danser quand ça cingle sur la peau les baguettes en osier.

Résigné, je coupe moi-même l’instrument qui me punira douloureusement dans un avenir très proche, j’imagine.

Le repas se déroule sans incident et nous avalons les carottes rappées avec de succulentes tomates en salade et ses œufs durs. Les fraises s’invitent au dessert, puis nous sirotons un petit café dans la bonne humeur.
Pierre-Luc baille lamentablement et propose une petite sieste réparatrice.
J’accepte volontiers car recevoir une bonne correction, ça fatigue, c’est bien connu !
Donc, direction la chambre à coucher unique de la maison. Il s’allonge sur le lit tout habillé. Je fais mine de vouloir enlever mes baskets mais d’un geste autoritaire, il m’ordonne de m’allonger près de lui.
- Alors, ça roule , tu te sens mieux ?
- Oui, je crois que je vais dormir un peu !
- Ah bon, dommage !
Il me caresse gentiment les cuisses puis m’embrasse avec tendresse.
- Tu es très mignon, tu sais ?
- Merci, mais désolé de le dire, j’avoue que je ne suis pas forcément gay, enfin, pas trop…
- Tu aimes quand les mecs te tapent sur les fesses et tu me dis qu’un baiser, ça te contrarie, c’est ça ?
- Non, enfin, c’est difficile à expliquer…
- Allez tais-toi, ta sieste, tu vas la faire dans la niche du chien !
- Mais vous n’avez pas de chien Pierre-Luc.
- Oui, mais j’ai une niche. Viens, suis-moi !

Une imposante niche en pin massif encombre la terrasse. Je suis gentiment prié par mon fesseur de rentrer à l’intérieur. Une couette pour m’éviter de m’enrhumer, un collier autour du cou et me voilà attaché à une chaîne comme un canidé fugueur.

- Ici, tu ne risques plus de subir mes débordements affectifs, on peut dire que tu es gâté Francis.
Une fou-rire me remue les côtes. Je me couche en chien de fusil et je m’endors assez vite.
Un petit bruit me réveille. Un mulot squatte sans autorisation ma couette. Puis soudain , un énorme félin se jette dessus, en jurant. Quel combat ! le chat est fou de rage et j’évite de justesse ses griffes terrifiantes. Je panique un peu et je n’ai qu’une envie, sortir de la niche. Mais hélas, la chaîne est aussi solide que le petit cadenas qui verrouille mon collier.
Effrayé, j’hurle ma panique, ce qui réveille mon bienfaiteur.
- Oh le pauvre petit, il a peur des souris !
- C’est le chat, il est fou !
- Ok, la sieste est terminée.
Il me détache et me demande de sortir, les mains sur la tête.

Contre toute attente, on se retrouve à discuter gentiment sur le canapé. Il me raconte son goût pour les vieilles voitures, ses voyages et sa passion pour le Rock and Roll.
Assis sagement, les mains sur les genoux, je l’écoute religieusement.
Il est intarissable. Il parle, il parle, sans la moindre pause.
Et puis, tout à coup, il s’empare d’un petit boîtier posé sur la table de salon, appuie sur un bouton et hop, la guitare de Jimmy Hendrix démarre un morceau d’enfer.
Alors, sans me prévenir, il m’arrache du canapé, me couche sur ses genoux et me fesse fortement.
Surpris par la soudaineté de la punition, je me débats comme je peux, mais les claques sonnent sur le tissu de mon short. Oh putain, j’ai mal !
Il m’accorde une petite pause de quelques secondes, juste le temps de glisser mon short jusqu’aux chevilles. Puis finalement, sans ôter mes baskets, il l’enlève et l’envoie voler au milieu de la pièce.
La fessée reprend, régulière et cuisante. Mon boxer à l’étoffe fine comme un papier à cigarette est bien incapable d’adoucir les coups. La main vengeresse tombe et tombe encore, m’obligeant à couiner ma douleur. Je crie , j’hurle, je réclame Stop !
Résultat, sans la moindre pitié, mon fragile boxer vole à son tour dans la pièce et c’est donc, les fesses dénudées que je reçois ma terrible correction.
Mes cuisses sont brûlantes et mes fesses en feu. Je pleure de douleur, ce qui fait rire mon tourmenteur. Je renonce à compter les claques et finis par m’abandonner corps et âmes à mon bourreau. La fessée est interminable et je suis anéantis par une souffrance à la fois pénible et excitante.
Sans doute fatigué, Pierre-Luc cesse sans prévenir de me frapper et me demande de récupérer mon short et mon boxer.
- Va les laver dans l’évier avec le liquide vaisselle, vite !
Etonné, j’entreprends de procéder à cette lessive rapide puis je cours l’étendre dans le jardin en débardeur Baskets, certes, mais les fesses bien rouges dénudées.

A partir de ce moment, mon fesseur m’interdit de porter le moindre boxer et c’est le cul nu, que je profite désormais de mon agréable séjour chez lui. Le débardeur est toléré ainsi que les baskets.
Je ne vous cache pas que désherber un potager dans cette tenue est particulièrement humiliant. Faut dire que quelques coups de baguette en osier ne m’incitent pas à protester. Je dois subir les caprices du fesseur, c’est le jeu.

De temps en temps, une main compatissante caresse mes cheveux et me tapote la joue.
- C’est bien, tu bosses comme un pro !
- Merci Pierre-Luc, merci beaucoup !

Le temps passe vite au jardin et l’heure du dîner approche.
- Pendant que je prépare le repas, va donc te laver. Près de l’arbre, j’ai installé une douche solaire. Dépêche-toi, j’ai faim.
J’enlève baskets et débardeur, je me savonne avec un gros savon de Marseille et puis, je savoure le contact d’une pluie tiède et douce qui apaise les brûlures de mon corps. Sans prendre le temps de me sécher, craignant d’être en retard, j’enfile mon débardeur et remet mes baskets.

Un énorme plat de charcuteries, un bocal de cornichons,  une boule croustillante de pain complet, une bouteille de vin de Loire, une salade frisée et deux parts de tarte aux fraises trônent sur la table.
- Ce soir, c’est la fête ! Profite ! Pose tes petites fesses fragiles sur la chaise, c’est moi qui fais le service.
Sans me demander mon avis, il me remplit une assiette avec des portions pantagruéliques.
Evidemment, je n’ose pas protester, ce n’est pas mon genre.
Mon verre se teinte en rouge et je suis prié de boire à notre santé.
L’alcool me rend plus familier et je commence à déconner un peu. Je mange avec les doigts, la bouche ouverte, le rire gras et sonore. Bref, je suis un peu ivre car la bouteille se vide à vue d’œil. Mes fesses nues me chauffent un peu, au contact de la paille d’une chaise au style vieillot.
Mais je suis à l’aise, oui vraiment. On rigole bien avec Pierre-Luc.
Mais , hélas , trois fois hélas, ce maudit Jimmy Hendrix se remet , sans prévenir, à sonner sa guitare de malheur.
Je suis tétanisé. On était si bien, tous les deux, à grignoter la tarte aux fraises. Je baisse les yeux et me prépare à une attaque brutale. Mais mon fesseur se contente de tripoter la télé commande de sa chaîne en me disant :
- Tu comprends vite. Quand Jimmy joue, tu prends des coups. J’adore fesser mes punis en musique. C’est très rock and roll, non ?
- Dommage, on était bien…
- Oui, dommage , moi aussi, je suis désolé, mais c’est Jimmy qui commande !

En soupirant, je débarrasse la table, puis je lave et essuie la vaisselle dans un silence religieux.
Pendant ce temps, j’observe Pierre-Luc qui joue avec un martinet, frappant au hasard fauteuils et canapé.
- Allez, viens te faire fouetter petit.
J’avoue que je n’ai plus envie de souffrir, j’ai eu ma dose aujourd’hui. Je résiste de toutes mes forces à mon désir de m’enfuir.
Pierre-Luc devine sans doute ma lassitude. Il vient me chercher dans la cuisine en me caressant avec tendresse et m’embrasse dans le cou et sur les lèvres.
- Pardon petit, j’oubliais que tu n’es pas forcément gay, désolé.
D’une amicale pression, il m’invite à me pencher sur la table de la salle à manger, les fesses offertes au martinet.
A nouveau, les caresses, sur le dos, les fesses, les cuisses et puis, pour la première, sur mon sexe bien intimidé.
Les lanières du martinet électrisent mon corps tout entier. Recevoir le fouet, quand on maitrise bien la douleur, c’est délicieux. Mes gémissements ressemblent de plus en plus à des petits cris de plaisirs. J’ai mal, certes, mais la souffrance m’excite. Mon tourmenteur s’en aperçoit et frappe un peu plus fort. Mais rien n’y fait, j’aime trop cette punition pourtant tant redoutée.
Il descend jusqu’aux mollets, puis remonte sur les cuisses et les fesses. Mes épaules sont flagellées à leur tour, mais je n’aime pas trop.
Il pose son martinet et ordonne :
- Tiens-toi droit, mains sur la tête.
Alors, sans prévenir, il me pince les tétons ce qui m’arrache un terrifiant cri de douleur.
Une gifle assez forte me fait taire.
Oui, ça fait un mal de chien les pincements de tétons. C’est tellement sensible ces petits bouts de viandes rosées.

Lui, il rigole. Il aime me surprendre, me faire trembler comme un être craintif. Je ferme les yeux et reçoit une claque sur mes testicules fragilisés par la nudité. La baguette en osier zèbre mes cuisses et mes fesses. Se faire corriger, debout, quasiment nu et les mains sur la tête, c’est très stressant. Ensuite, la ceinture pour bien marquer le coup.
- Vire ton débardeur et tes baskets , vite !

Entièrement nu pour la première fois, je reçois à nouveau des coups de martinet qui me font danser.
- Allez hop, au lit, s’écrie d’un ton rageur mon amical tourmenteur.
Soulagé, je me dirige vers la chambre.
- Tu ne préfères pas dormir dans ta niche ?
- Non, non, pas dans la niche, je promets d’être bien docile.


Dormir avec un homme, quand on pense ne pas être gay, ce n’est pas simple. Ma nudité n’arrange pas mes affaires et je comprends très vite que Pierre-Luc désire partager quelques plaisirs coquins avec moi. Entièrement nu, lui aussi, il embrasse mes lèvres presque indifférentes avec une certaine fougue. Mon corps entier n’est que douleur et je ne pense qu’à essayer de dormir. Mais mon fesseur ne semble pas d’accord. Ses mains si cruelles se promènent pacifiquement sur ma peau endolorie.
Je gémis, mieux, je chuchote de plaisir. Je me laisse aller, petite chose offerte à mon bourreau.
Mon pénis tout en fermeté, se niche dans le creux d’une main et subit sans contrainte, un massage agréable. Incapable de me contrôler, je laisse ma jouissance s’exprimer sans regret dans les draps.
Pierre-Luc, hilare, me claque doucement une joue d’une main poisseuse.
- Pour un hétéro, je te trouve bien rapide.

Un sentiment terrible de honte m’envahit. Je devine que demain, je vais payer très chèrement cette éjaculation sauvage. Je regarde Pierre-Luc qui se retourne et plonge presque instantanément dans un sommeil profond.
Moi, je n’en mène pas large et j’imagine très bien le réveil en fanfare avec fessée brutale à l’aide de tous les instruments disponibles. La peur m’empêche de dormir. Mais la fatigue finit par prendre le dessus et me plonge dans les bras de Morphée qui me berce avec des rêves coquins.

Allongé à plat ventre sur le drap, je sors doucement d’un coma réparateur. Je frissonne car pendant la nuit, la couette a glissé du côté de Pierre-Luc. J’essais de bouger un peu , mais une retentissante claque sur mes fesses m’immobilise.
Les claques pleuvent sur mes fesses et mes cuisses, avec une énergie incroyable.
Dans le salon, Jimmy Hendrix fait couiner sa guitare.
La baguette en osier me cingle méchamment, puis le martinet me fouette des épaules jusqu’aux mollets. Je crie Stop, proteste, hurle même ! Rien n’y fait, les coups sont distribués avec délectation et une précision très professionnelle. Le plus terrifiant, c’est que Pierre-Luc ne prononce pas un seul mot, il frappe et je pleure, nu sur le lit où la veille, j’avais explosé de plaisir.

- Voilà, tu vas pouvoir rentrer chez toi. Je pense que j’ai répondu à tes attentes, petit.

Je cherche difficilement ma respiration. J’essaie de me retourner pour répondre à mon fesseur.
Il me caresse la tête et me tapote les fesses. Il est nu, face à moi, son sexe en étendard.

- Désolé, mais tu m’as mis dans un tel état. Dommage que tu ne sois pas gay !
- Je veux bien essayer, mais je ne suis pas certain d’y arriver.
Pierre-Luc pose ses deux mains sur ma tête, son sexe humide caresse mes lèvres que j’hésite à ouvrir.
Il parvient à grand renfort de ruse, à pénétrer ma bouche pourtant réticente.
Je me laisse guider, surmontant ma répulsion. Le pénis coulisse doucement dans ma gorge, puis accélère la cadence pour finir par lâcher son jus que je recrache aussitôt sur les draps déjà souillés.


Pierre-Luc se tord de rire. Un rire contagieux. Nous rions comme deux gamins. Un gamin de soixante-dix ans et un plus jeune de cinquante-cinq.

Après le petit déjeuner, Pierre-Luc me demande si je désire recevoir une dernière fessée avant de rentrer chez moi.
Je lui dis que je préfère rester sur une bonne impression. En fait, je n’ai plus envie de rien. Je récupère mon short et mon boxer encore humide sur le fil à linge.
Heureusement, j’ai prévu un short et un boxer de rechange dans mon sac à dos. Je m’habille devant Pierre-Luc qui m’observe malicieusement.

Trois bises, une petite claque sur les fesses, à bientôt !
Et nous nous quittons bons amis.

Quelques temps plus tard, Pierre-Luc est parti rejoindre des potes, dans un pays étranger dont j’ai oublié le nom.
Nous reverrons-nous un jour ou l’autre ?
A vrai dire, je n’en sais rien !

Francis

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Patou72
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La fessée rock and roll ! Empty Re: La fessée rock and roll !

Ven 28 Mai - 10:25
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Aimerait bien le rencontrer pour être corriger aussi par lui je suis de la Sarthe et me deplace

Francisse aime ce message

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Francisse
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La fessée rock and roll ! Empty Re: La fessée rock and roll !

Ven 28 Mai - 23:38
Salut Patou !
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Francisse
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Sam 29 Mai - 7:14
Tu es d'où dans la Sarthe Patou. Moi je suis de la Mayenne.
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Patou72
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Lun 31 Mai - 11:00
De Ballon 30km nord du Mans
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Patou72
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La fessée rock and roll ! Empty Re: La fessée rock and roll !

Lun 11 Oct - 9:28
Bonjour plus de nouvelles de vous pourtant je voudrai réellement recevoir une fessée de votre part je me déplace facilement
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Patou72
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La fessée rock and roll ! Empty Re: La fessée rock and roll !

Ven 22 Oct - 18:28
Bonjour attend toujours pour recevoir ma fessée
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Patou72
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La fessée rock and roll ! Empty Re: La fessée rock and roll !

Ven 31 Déc - 18:18
Donnez moi cette fessée merci
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