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Francisse
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Date d'inscription : 21/03/2021
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Ma première fessée ! Empty Ma première fessée !

Sam 27 Mar - 23:25
    Ma première fessée !


J’ai à peine passé la quarantaine, à l’époque, et pourtant, je continue de trainer un fantasme surprenant, la fessée donnée par un homme ! Marié, il va sans dire que mon épouse ignore mon rêve le plus fou.
Ce jour-là, après quelques échanges de mails bien explicites avec un rennais d’un âge assez avancé, je décide de franchir le cap et de risquer une rencontre.
Faut dire que nous nous sommes bien chauffés mon mystérieux correspondant et moi.
Les promesses du monsieur sont très alléchantes !
Jugez-en : fessée à main nue, planchette, petite baguette en bambou et finition au martinet.
En supplément au programme, debout face au mur, quelques bons coups de ceinture.

Donc, prétextant une rencontre avec un musicien, je roule direction Rennes, avec ma guitare et une certaine excitation teintée d’anxiété.
Comment un homme rebelle comme moi, refusant toutes les formes d’autorité, peut offrir   à un obscur comptable directif et froid, ses fesses fragilisées par la nudité ?
Et oui, me dis-je en traversant la campagne mayennaise, c’est ce qui m’attend ! Une totale soumission dans le plus simple appareil ! Ma pudeur frissonne et mon cœur se serre, partagé entre l’envie de faire demi-tour et le besoin viscéral de réaliser le fantasme de ma vie.
De plus, j’ai commis l’imprudence de promettre une fellation à mon futur tourmenteur pour le remercier.
Evidemment, en écrivant un mail, on se sent capable de tout.
La réalité est bien souvent différente et notre capacité à obéir est finalement assez limitée.

Rennes.  Je gare mon véhicule sur le parking d’une petite résidence à côté d’une vieille Clio verdâtre.
Je sonne à l’interphone et le petit clic d’une porte vitrée m’invite à entrer.
Un couloir, une porte entr’ouverte, oui, c’est bien là !
« Il est encore temps de t’enfuir, me dis-je, de prendre tes jambes et ton cou et d’échapper à ton triste sort ! »
Finalement, je cède à ce maudit dictateur nommé fantasme et entre sans frapper dans l’appartement de celui qui va devenir mon fesseur.
L’homme est moche, vieux, avec des cheveux gris jaunes et gras. Il porte un costume d’une tristesse désarmante et ses lunettes de comptable lui donne un air sévère qui me glace le sang !

« C’est ce sale type qui va te punir, me dis-je en contemplant l’homme, tu es descendu bien bas mon pauvre Francis » !

Sans prononcer un seul mot, Monsieur m’observe avec insistance puis s’empare de mes mains un peu moites et les plaquent derrière ma nuque. Il me donne une petite claque amicale sur la joue, caresse mon torse, mon dos, le haut de mes cuisses et mes fesses en évitant soigneusement mon pauvre pénis effrayé.

- Déshabille-toi, ordonne-t-il !
- Complètement Monsieur ?
- Oui, mets-toi nu !

Evidemment, j’aurai préféré une fessée progressive, avec déculottage humiliant comme grand final, mais l’homme ne semble pas disposer à négocier.
J’enlève donc veste, jean, chemise et sous-vêtements et, instinctivement, je replaque mes mains derrière ma nuque, nu comme un vers.
Quelques caresses sur les fesses, une légère tape sur mes testicules, un petit sourire narquois.
Puis, monsieur s’empare d’une chaise, installe ses fesses sans relief et d’un index déterminé, me propose de m’allonger sur ses genoux.
A nouveau quelques caresses, un long silence pesant puis, sans le moindre avertissement, une pluie de claques sonores.
Surpris par la douleur, je m’agite un peu mais Monsieur maîtrise l’exercice avec la force de l’habitude. Résigné, je subis cette première fessée, en espérant qu’elle sera courte.
Monsieur me donne des claques de plus en plus fortes et s’amuse à flâner de fesses en cuisses, avec un certain sadisme.
La douleur me tétanise, j’ai mal et je suis à deux doigts de pleurer.
Sans doute un peu fatigué, il finit par m’accorder une pause.
- Regarde tes fesses dans la psyché !
- Oh punaise, elles sont sacrément rouges ! Et ça brûle !
- A genoux face au mur, mains sur la tête !
Devenu soumis à mon fesseur, j’exécute l’ordre. Une délicieuse brûlure et un agréable sentiment de soumission totale transforme cette douloureuse épreuve en un plaisir bien improbable.
Le temps passe, monsieur lit une revue littéraire tout en m’invitant à rester immobile.
J’entends une cuillère tourner dans une tasse à café, un gâteau sec craquer sous les dents jaunes du comptable…
Puis le silence, un silence excitant !

- Debout !
- Oui Monsieur !

Une petite planchette en hêtre à la main, mon bienveillant bourreau entreprend de me corriger debout !
Franchement, la planchette, ce n’est pas mon truc ! Je subis néanmoins la punition que je trouve désagréable. Heureusement, Monsieur, à l’aide d’une courte baguette en bambou me fait danser en marquant mes fesses déjà bien rouges, de jolies rayures rosées.
J’ai mal, je gémis ma douleur, mais, et cela reste entre nous, j’éprouve un certain plaisir.
Une courte pause et me voilà allongé, toujours nu, à plat ventre  sur le canapé rouge qui meuble royalement la pièce de vie.
Monsieur, pour des raisons évidentes de confort, glisse un coussin de même couleur sous mon sexe et commence avec une virtuosité étonnante, une séance de flagellation au martinet !
Un vrai délice ! Je gémis, complètement déconnecté d’une quelconque réalité.
Bizarrement, je me sens bien, apaisé, heureux !
Monsieur, en fesseur expérimenté, m’offre ici une espèce de dessert. Je suis bien et la douleur se transforme en plaisir. Un plaisir qui n’est pas sexuel, non, une sorte de sentiment de plénitude difficile à expliquer.
Et c’est là que tout bascule ! Monsieur sort un pénis douteux, rabougri et très humide et l’approche de mes lèvres.
La plénitude s’envole et fait place au dégoût !
- Désolé, je ne peux pas Monsieur !
- Tu m’as promis une fellation dans ton mail, s’agace le fesseur rennais !
- Oui, je sais, mais je ne peux pas…
Déçu, Monsieur range gentiment l’objet en soupirant.
- Face au mur, mains sur la nuque !
J’obéis, craignant à juste titre, des représailles douloureuses.
Quelques minutes s’égrènent, accentuant mon inquiétude.
Le temps est un précieux allié du fesseur qui jongle avec les pauses qui transforment le fessé en un être craintif.

Je ne le vois pas arriver le premier coup de ceinture mais très vite, des larmes salées m’aveuglent.
J’ai mal, mais je n’ose protester. Sans un mot, Monsieur me fouette consciencieusement les fesses et les cuisses avec application. Mes mains, posées à plat contre le mur, transpirent la cinglante douleur. Une vraie punition et une grande humiliation.
Le supplice prend fin. Une main amicale me tapote mes fesses meurtries.
- Rhabille-toi Francis, murmure une voix bienveillante.


Assis devant une bière mousseuse à souhait, dans une ambiance détendue et joyeuse, le comptable et moi échangeons sur ce petit moment sympathique passé ensemble.
Une délicieuse brûlure me trouble les sens.
- Eh, m’sieu, j’vous cache pas que j’en reprends bien une autre de fessée !
- Désolé Francis, je n’ai plus envie de te fesser ! Il faut savoir s’arrêter soupire mon généreux tourmenteur !

Nous nous sommes quittés bons amis mais étrangement, nous ne nous sommes jamais revus !
Ma situation d’homme marié sans doute…

Tout en roulant gentiment vers ma Mayenne natale, je me dis que pendant quelques jours, je vais devoir éviter de montrer ma nudité à mon épouse.
Le fesseur a en effet marqué de manière provisoire, certes, mes fesses et mes cuisses avec ses tendres instruments de torture.

Des années plus tard, après mon divorce, j’ai rencontré d’autres fesseurs.
J’ai aussi donné des fessées.
De douloureux moments de plaisir intense.

Francisse

knaps, Angelbx, jclaude et OTK1972 aiment ce message

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fesseurmontpellier
Messages : 2
Date d'inscription : 05/04/2021
Age : 68
Localisation : MONTPELLIER

Ma première fessée ! Empty Re: Ma première fessée !

Mar 13 Avr - 17:16
je fesse souvent des hommes mariés dont les épouses ne savent pas ou ne veulent pas savoir, c'est dommage de ne pas pouvoir avouer son penchant à sa moitié. moi même je me fais fesser chez moi quand ma copine est au travail.
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